Source :motorlegend.com
Bien qu'elle ait été testée dès 1957, la DBR4 n'a fait ses débuts en compétition qu’en 1959, avec 2 voitures engagées dans le Silverstone International Trophy.
Pilotées respectivement par Carroll Shelby et Roy Salvadori, c’est ce dernier qui termine à une encourageante deuxième place.
Hélas, ce sera le seul bon résultat de la monoplace.
Le Grand Prix des Pays-Bas, deuxième épreuve à laquelle les deux voitures prennent part, tourne à la déroute : deux abandons sur la piste de Zandwort. A Aintree, dans le GP de Grande-Bretagne, l’une se classe sixième (Salvadori) et l’autre abandonne. Sur le circuit de Monsanto, près de Lisbonne, elles terminent sixième et huitième dans le GP du Portugal. Au Grand Prix d’Italie à Monza, des deux voitures alignées, l’une abandonne (casse moteur) et l’autre ne fait pas mieux que la dixième place. La saison s’achève tristement sans que le moindre point n’ait été marqué dans le championnat du monde.
La DBR4/250 revient en 1960 avec quelques modifications légères et une carrosserie redessinée. Aux côtés de Salvadori, Maurice Trintignant remplace Carroll Shelby. Rebaptisée DBR5/250, l’Aston Martin n’est présente qu’au Grand Prix de Grande-Bretagne couru à Silverstone. Les deux voitures engagées abandonnent.
Avec un palmarès totalement vierge — aucun point n’a été marqué en deux ans, Aston Martin jette l’éponge. En fin de saison, les voitures et les pièces sont vendues en Australie, où elles courront dans le championnat Tasman.
Des quatre DBR4 et DBR5 construites, trois existent toujours aujourd’hui.
C’est donc une auto rare à l’échelle 1 et toute aussi rare sur les pistes de slot au 1/24, les marques Pénélope pitlane et Cartrix, s’étant chargées de combler le vide au 1/ 32.
Voici une petite vidéo de cette auto en essais à Goodwood, en attendant de pouvoir suivre l’avancement du chantier au 1/24.
Bien qu'elle ait été testée dès 1957, la DBR4 n'a fait ses débuts en compétition qu’en 1959, avec 2 voitures engagées dans le Silverstone International Trophy.
Pilotées respectivement par Carroll Shelby et Roy Salvadori, c’est ce dernier qui termine à une encourageante deuxième place.
Hélas, ce sera le seul bon résultat de la monoplace.
Le Grand Prix des Pays-Bas, deuxième épreuve à laquelle les deux voitures prennent part, tourne à la déroute : deux abandons sur la piste de Zandwort. A Aintree, dans le GP de Grande-Bretagne, l’une se classe sixième (Salvadori) et l’autre abandonne. Sur le circuit de Monsanto, près de Lisbonne, elles terminent sixième et huitième dans le GP du Portugal. Au Grand Prix d’Italie à Monza, des deux voitures alignées, l’une abandonne (casse moteur) et l’autre ne fait pas mieux que la dixième place. La saison s’achève tristement sans que le moindre point n’ait été marqué dans le championnat du monde.
La DBR4/250 revient en 1960 avec quelques modifications légères et une carrosserie redessinée. Aux côtés de Salvadori, Maurice Trintignant remplace Carroll Shelby. Rebaptisée DBR5/250, l’Aston Martin n’est présente qu’au Grand Prix de Grande-Bretagne couru à Silverstone. Les deux voitures engagées abandonnent.
Avec un palmarès totalement vierge — aucun point n’a été marqué en deux ans, Aston Martin jette l’éponge. En fin de saison, les voitures et les pièces sont vendues en Australie, où elles courront dans le championnat Tasman.
Des quatre DBR4 et DBR5 construites, trois existent toujours aujourd’hui.
C’est donc une auto rare à l’échelle 1 et toute aussi rare sur les pistes de slot au 1/24, les marques Pénélope pitlane et Cartrix, s’étant chargées de combler le vide au 1/ 32.
Voici une petite vidéo de cette auto en essais à Goodwood, en attendant de pouvoir suivre l’avancement du chantier au 1/24.